A l’ombre des figuiers sauvages

Bassanese.org v8

Interlude (19)

Sur un petit bout de papier de cinq centimètres par deux, fripé et jauni par le temps, on peut lire ceci :

"Il y a beaucoup de bonheurs qu'on dédaigne parce qu'ils ne coûtent rien."

Paul Leautaud

1 commentaire

#1  - mijie. a dit :

Et on a d'autant plus tort de les dédaigner que ce sont souvent les plus beaux.
Regarder la mer, rendre un baiser, faire la sieste au soleil...

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